Tu as entendu parler du régime keto. Tu as peut être vu l’émission de jeudi soir, vu passer une recette cétogène, lu un article sur le régime sans sucre.

Peut-être même que tu as essayé.
Ou peut-être que tu te demandes si c’est fait pour toi.

Sauf que « le régime keto » n’existe pas : c’est un mot fourre-tout qui englobe toutes les approches basées sur la réduction des glucides : low-carb, cétogène strict, paléo, carnivore…

Toutes ces approches partagent le même principe de départ : réduire drastiquement les sucres. Et ça, oui, c’est génial. Vraiment.

En réduisant les glucides, tu coupes net les processus qui maintiennent ton corps en mode stockage permanent.
Plus de montagnes russes glycémiques.
Plus de pics d’insuline toutes les trois heures.
Plus de fringales incontrôlables.

Ton corps arrête enfin de tourner en mode stockage…
Sauf que ce n’est pas aussi simple que ça.

La plupart des gens qui se lancent dans  « le keto » pensent qu’il suffit de retirer le pain, les pâtes et les gâteaux.
Moins de sucre, moins de poids. Simple, logique.

Et au début, ça marche. Deux semaines, trois semaines, un mois. Les kilos descendent. L’énergie revient. Tu te sens bien.

Puis ça ralentit. Puis ça stagne. Et tu ne comprends pas pourquoi… et tu te dis que « le keto ne marche pas », alors qu’en fait, tu es simplement restée à la première étape.

Réduire les glucides, c’est couper les processus délétères. C’est arrêter de nourrir le stockage. Mais ce n’est que la moitié du chemin.

L’autre moitié, celle dont personne ne parle vraiment quand on te vante les bienfaits du « ceto » , c’est la relance métabolique.

Parce que supprimer les nutriments qui favorisent le stockage, c’est bien, mais ta santé métabolique se construit bien plus sur ce que tu mets dans ton assiettes que ce que tu en enlèves !

Perdre du poids, c’est bien, mais si tu le fais au détriment de ton métabolisme, si tu n’honores pas ses besoins en nutriments, tu restes dans la même dynamique délétère que la restriction calorique : priver ton métabolisme en espérant l’obliger à piocher dans ses réserves… au lieu de l’accompagner, le soutenir, le nourrir pour qu’il arrête de stocker.

Et ça, ça demande de comprendre que ton corps réclame de la densité nutritionnelle, pas juste “moins de sucre”.
Que les protéines ne sont pas optionnelles.
Que l’inflammation qui traîne depuis des années sabote tes efforts, même si tu as retiré tous les glucides.
Que tes hormones travaillent en équipe et ont besoin d’un cadre apaisé pour bien fonctionner.

Ça demande de comprendre pourquoi des années de café à jeun, de jeûne intermittent permanent, de nuits trop courtes et de stress chronique ont creusé un fossé entre toi et ton poids de forme.

Et de comprendre que ce fossé ne se comble pas en deux semaines de salade et de viande grillée.

Si tu as déjà commencé à réduire les glucides, tu as fait le plus important. Tu as ouvert la porte. Tu as compris que ton corps ne fonctionnait pas comme on te l’avait raconté pendant des années.

Maintenant, il est temps d’aller plus loin. De comprendre ce qui se passe vraiment dans ton métabolisme. Ce qui le ralentit. Ce qui l’empêche de déstocker.

Et surtout, ce qu’il faut mettre en place pour qu’il accepte enfin de te lâcher ces kilos qui te résistent depuis trop longtemps.

Raconte moi : où en es-tu ? Est-ce que tu as juste retiré les glucides en espérant que ça suffise ? Est-ce que tu es prête à aller « au delà du keto » pour comprendre ce qui se passe vraiment dans ton corps ? Réponds à cet email, ou laisse un commentaire juste là, en dessous 👇 Je suis curieuse de savoir où tu en es.

Et sii tu stagnes, si tu te sens bloquée, je peux t’aider à passer à la prochaine étape. Celle qui change tout.

À demain,
Sophie 💜