C'est 'juste' un café au lait...

Et pourtant ça sabote ta perte de poids.
C'est 'juste' un café au lait...

Aujourd'hui, je veux te parler de Claire. Claire est une amie de loooongue date, le genre de nana qui n'a jamais vraiment eu de problèmes de poids, active mais pas forcément sportive, bien dans ses baskets.

Il y a quelques mois, elle me racontait qu'elle avait l'impression de ne plus rien maîtriser. A l'approche de la ménopause, elle prenait du poids, insidieusement, 300-400g chaque mois, parfois plus, et elle en était déjà à +5kg par rapport à son poids habituel.

Elle m'a demandé ce qu'elle pouvait faire et on a échangé sur ses journées, ses repas... Très clairement, elle avait une alimentation plutôt saine – et me suivant de longue date, elle avait déjà amélioré plein de trucs. Et puis, un peu par hasard, elle me raconte qu'elle n'est vraiment pas sucre, et que ses deux cafés au lait lui suffisent.

Rien d'alarmant pour elle, mais dans ma tête, ça a allumé une petite lumière rouge...

Parce qu'effectivement, deux cafés, deux sucres, ça n'a rien d’extravagant.
Sauf que deux cafés à 10 grammes de sucre chacun, ça fait 20 grammes par jour.
Six cent grammes de sucre par mois.
Sept kilos de sucre par an.

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Je lui ai dit d’essayer un truc tout bête : garder ses cafés, mais sans lait ni sucre, juste pour voir. Un mois plus tard, elle m’a écrit, ébahie : elle avait perdu 4 kilos.
Sans changer rien d’autre.

Rien d'étonnant à ça, mais c'était rigolo de voir que ça l'étonne à ce point. Parce qu'on sait qu’un surdosage de médicament, à quelques milligrammes près, peut être dangereux, parfois même fatal.

Mais on ne réalise pas que quelques grammes de sucre, chaque jour, peuvent être désastreux pour le métabolisme.
Pas du jour au lendemain, bien sûr.
Mais lentement, silencieusement, jour après jour.

Ce sucre dans le café, que ton corps compense bien à 20 ans, devient un vrai saboteur quand tu approches la cinquantaine.

Chaque cuillère de sucre, c’est un petit message hormonal qui lui dit : “stocke”. Et qui se cumule avec le stress, la fatigue, le manque de sommeil, et la bastonnade hormonale qu’est la périménopause. 

Et ce petit message devient celui de trop, qui bloque ton métabolisme en mode stockage. Ce n’est pas “juste” une cuillère de sucre. C’est un signal. Répété, cumulé, amplifié. Un vrai interrupteur qui coupe ta capacité à déstocker. »

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Pas de calculs, pas de restriction, pas de menu tout fait : juste une vraie compréhension de ton métabolisme, et des résultats qui durent.

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À demain,
Sophie 💜

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